Médecine nouvelle du Dr HAMER - Analyse critique -

Publié le par choisirlaconfiance.over-blog.com

 Le médecin allemand Ryke Geerd HAMER a mis en évidence le mécanisme de choc conflictuel qui sous-tend le développement de pathologies diverses, dont les  cancers.
  Repoussé par ses pairs, qui n'ont même pas voulu examiner son projet de thèse, malgré un CV très honorable (voir article sur http://authenticienne.over-blog.com/ ) il a eu ensuite à protéger ses conclusions des différents acteurs qui voulaient exploiter , à leur manière, ses résultats en se disant ses disciples. 
Mais quel est le parcours de soignant du Dr HAMER, né en 1935, médecin oncologue et radiologue tout autant que théologien
 En 1978, le Dr HAMER développa un cancer des testicules, peu après que son fils eut reçu une balle fatale, et s'est demandé si son cancer était lié au décès de son fils.

Toutefois, ce n'est que trois ans plus tard, tandis qu'il travaillait dans un centre hospitalier anticancéreux de l'Université de Munich, que le Dr HAMER put commencer sérieusement ses recherches sur le cancer. Par la suite, il examina et analysa 15 000 cas de cancer et retrouva à chaque fois les caractéristiques suivantes, qu'il désigne :

La loi d'airain du cancer
1. Les cancers et toutes les maladies associées commencent sous la forme d'un DHS - Syndrome de Dirk HAMER (en mémoire de son fils). Il s'agit d'un choc conflictuel grave qui se manifeste simultanément à trois niveaux : psychique, cérébral et organique.
2. Le thème du conflit psychique détermine l'emplacement du foyer, aussi appelé Foyer de HAMER, dans le cerveau ainsi que l'emplacement du cancer dans l'organe.
3. Le déroulement du conflit psychique est en corrélation avec le développement du Foyer de HAMER dans le cerveau et avec l'évolution du cancer dans l'organe.

Au moment du choc conflictuel, il se produit une sorte de court circuit en un point prédéterminé du cerveau. Le phénomène peut être visualisé à l'aide d'un scanner et ressemble aux anneaux concentriques à la surface de l'eau après y avoir jeté une pierre.

Plus tard, si le conflit se résout, l'image du scanner se modifie tandis que se développe un œdème et, enfin, un tissu cicatriciel.

Selon le Dr HAMER, un choc traumatique inattendu pour lequel nous ne nous sommes pas émotionnellement préparés serait à l’origine du cancer et d'autres maladie.

Leur gravité peut dépendre d'autres facteurs psychologiques, énergétiques et nutritionnels, toutefois, le foyer cible n'est pas déterminé par la nature de l'événement lui-même, mais par la signification psychologique que nous lui attribuons. 

Lorsque nous ressentons une douleur émotionnelle imprévue, un programme de réparation d'urgence se met en route - un programme de survie biologique - afin de nous remettre dans notre état normal. C’est une constante dans le monde animal.

Quand le niveau de stress grimpe en flèche, la connexion cerveau/poumon est activée.

Jusqu'à ce que le conflit soit résolu, il y aura un stress constant ainsi qu'une stimulation cérébrale de l'activité pulmonaire, qui prend la forme d'une capacité pulmonaire accrue par la division incessante des cellules.
Ce processus ne peut être interrompu
que par la déconnexion du déclencheur cérébral, laquelle passe par le désamorçage du choc conflictuel initial.
En général, la sensation d'impuissance, le désespoir, l'impression que tout est dénué de sens, engendrent un stress chronique et empêchent de guérir du cancer et d'autres maladies, mais ne seraient pas à l'origine de ces maladies.

L’expérience de choc conflictuel provoque un stress perpétuel entraînant une tendance à …
s'appesantir sans cesse sur la teneur du conflit en question.
La phase guérison : Lorsque le conflit est résolu,
le patient ne se préoccupe plus de sa teneur,retrouve l'appétit et sommeil et voit ses pieds et ses mains se réchauffer. Néanmoins, il peut aussi ressentir une certaine faiblesse, de la fatigue et durant la première partie de la phase de guérison, il y a des rétentions d'eau et des inflammations

Ensuite, le corps commence à expulser l'eau accumulée, le patient reprend peu à peu des forces et les fonctions corporelles redeviennent normales.
Le Dr HAMER estime que 99% des événements cérébraux sont dus à des épisodes de guérison.  Par conséquent, il les considère le plus souvent comme temporaires et auto-modérateurs 

Il distingue deux processus opposés durant la phase de conflit actif. Il peut y avoir :

-         soit une prolifération cellulaire

-         soit au contraire une destruction cellulaire.

Selon le Dr HAMER, ces états ne se déchaînent que lorsque surviennent des chocs conflictuels additionnels. La médecine douce s'attache à soutenir le corps et l'esprit durant cette période probatoire. 
Dans chaque cas de cancer, il est fondamental de découvrir le choc émotionnel initial et de s'assurer qu'il a été guéri ou qu'il est en cours de guérison.  

Par exemple, si ce celui-ci est dû à l’abandon d'un partenaire, en rencontrer un autre…

Facile à dire!!!!

Toutefois, ce n'est pas tant le fait d'avoir un nouveau partenaire qui ouvre la voie vers la guérison que le fait de "digérer" une situation et de continuer son chemin.
Si une solution naturelle n'est pas possibleutilisez alors la visualisation guidée, seul(e) ou avec l'aide d'un partenaire.

Dans un état de relaxation ou de méditation, recréez et revivez le conflit aussi intensément que possible, mais remplacez ensuite l'issue subie par une issue souhaitable ou acceptable.

Si aucune de ces méthodes n'est possible parce que vous avez l'impression que vous devez poursuivre vos devoirs actuels ou continuer à supporter votre épreuve pour telle ou telle raison, alors seule une compréhension spirituelle avancée pourra vous aider.

 

Dans tous les cas, soyez conscient de vos vulnérabilités et évitez tout choc conflictuel supplémentaire - s'il en survient un, évacuez-le aussi rapidement que possible.

Nous pouvons aussi faciliter la phase de guérison en pariant qu'elle sera courte et clémente et nous conduira à un complet rétablissement.
Même si le Dr HAMER ne croit pas que les aliments naturels, ou un mode de vie pur et sain puissent guérir le cancer, ils ont néanmoins un rôle important : Celui de nous aider à vivre les épreuves de la phase de guérison.


En 2001 Le Dr Therese von Schwarzenberg, éminent neurologue a ouvertement défendu le Dr HAMER en exigeant que ses théories soient testées officiellement.

 

Un Psychothérapeute a rajouté : (et je partage son opinion)

   « Je suis convaincu que tous les conflits actifs prendront fin et que la phase de guérison commencera lorsque nous serons capables de ressentir un immense sentiment d'amour et de pardon au fond de nous et d'en irradier les autres… ,

 Cependant, le Dr HAMER  suggère une communication unilatérale du psychisme vers l'organe via le cerveau tandis que je suggère plutôt une communication bilatérale du psychisme vers l'organe ainsi que de l'organe vers le psychisme, toujours en passant par le cerveau,  Hypothèses retenues pour la pratique de l’acupuncture. »

 

Mes observations personnelles m'emmènent à ajouter, pour conclure cet article, que renoncer à l’égocentrisme, par une attitude volontariste, est une des meilleures stratégies pour amorcer et (ou) conforter l’étape « guérison ».

Un renoncement qui implique l’acceptation du soutien du corps médical. 

Notre mémoire culturelle a la certitude de l’utilité des Enseignements . Ne créons pas un conflit supplémentaire entre nos convictions passées et celles présentes.

Choisir la Confiance en l’Autre (la Vie) est une condition nécessaire à l’efficacité des soins et Choisir la Confiance en soi permet de participer à sa propre guérison.  

 

Voilà.

A bientôt

Françoise

http://authenticienne.over-blog.com/  

Publié dans On en discute

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B
<br /> Françoise a écrit « Je répondrais que n'étant pas capable de vérifier si l'univers est limité (au-delà de ma ligne d'horizon) ou pas, je n'en pense rien. »<br /> La question ne vous était pas posée mais elle montrait que peu importe la réponse qu’on en donne et même celle que vous donnez (alors que je ne vous l’ai pas posée) : le seul fait de se la poser,<br /> permet à celui qui tente d’y répondre de se positionner par rapport à quelque chose qui le dépasse et dans le domaine de l’invisible et l’immatériel ce qui est une interrogation de type<br /> spirituelle…<br /> <br /> Françoise écrit : « New âge ? Qu'importe, un âge est toujours new pour celui qui y arrive. »<br /> Il ne faut pas jouer sur les mots : le newage regorge de dérapages en tous genres au travers de pensées magiques qui se font passer pour des « vérités révélées » et offre une sorte de fastfood<br /> spirituel pour ceux qui ont perdu leur propre ancrage ; exemple tout ce qui tourne autour des Maya et 2012<br /> Voir cette réflexion :<br /> http://www.retrouversonnord.be/develperso.htm#fin<br /> a mettre aussi sur le même que la (fumeuse) « loi d’attraction »<br /> http://www.retrouversonnord.be/develperso.htm#attraction<br /> et encore<br /> http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/etonnant/article/the-secret-le-secret-de-la-pensee-23048<br /> <br /> <br />
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B
<br /> Autrement dit et pour faire court, si quelqu’un prétend n’avoir aucune spiritualité, en apport avec ce qui précède, je lui poserais simplement la question : « que pensez-vous de l’infinité de<br /> l’univers ? Avez-vous une explication ? ».<br /> <br /> Le simple fait de se poser ne fût-ce qu’une seule fois la question, c’est déjà exprimer une forme de spiritualité ; selon Wikipédia, la spiritualité « se rapporte, d'un point de vue philosophique,<br /> à l'opposition de la matière et de l'esprit (voir problème corps-esprit) ou encore de l'intériorité et de l'extériorité ». Toute personne à un moment ou l’autre de sa vie ne peut qu’immanquablement<br /> se poser la question de l’infinité de l’univers et de sa place dans ce dernier. Poser la question et même sans pouvoir donner une réponse ferme, c’est une démarche spirituelle.<br /> <br /> En conséquence, croire comme vous le faites, Françoise, qu’il existe des « personnes totalement imperméables à la spiritualité» (et même sur base de leur propres assertions) est dogmatique et pire<br /> contredit par le fait qu’à un moment où un autre (comme démontré) il est immanquable qu’elles devront se déterminer conformément à leur regard et leur compréhension de ce qu’est l’univers et ses<br /> inconnues…<br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> A Baudouin qui me demanderait  « que pensez-vous de l’infinité de l’univers ? Avez-vous une explication ? ». Je répondrais que n'étant pas<br /> capable de vérifier si l'univers est limité (au-delà de ma ligne d'horizon) ou pas, je n'en pense rien.<br /> <br /> <br /> A Wikipédia qui exprime que la spiritualité « se rapporte, d'un point de vue philosophique, à l'opposition de la matière et de l'esprit" Je dirais<br /> que d'un point de vue théologique, il n'y a pas opposition de la matière et de l'esprit mais alliance. <br /> <br /> <br /> Suivant la zone du cerveau blessée, l'individu ne peut plus utiliser sa main. Mais même si le cerveau est intact, l'individu dont on a coupé la main ne pourra plus<br /> s'en servir non plus.<br /> <br /> <br />  A la question "Pourquoi suis-je" je choisis de parier sur la réponse : Pour accomplir ma mission de Vie que je découvre en avançant.<br /> <br /> <br />  A la question : "Comment savoir si j'avance sur la bonne trajectoire" j'écho-réponds que les signes qui nous confirment que l'on est sur le bon<br /> chemin sont "la joie inexpliquée" ressentie pendant la marche. Ceci étant il n'est pas surprenant qu'à partir du chemin on ne soit pas capable de voir le sommet.<br /> <br /> <br /> A la question : "Qu'est-ce qui me permet de formuler ces affirmations? " Je réponds : Moi-même. Pascal avait fait un pari gagnant ou nul, j'en fais un autre<br /> : La Vie est notre alliée et son moyen est d'intervenir sur la conjoncture.<br /> <br /> <br /> Nos intérêts étant communs, si une situation me surprend je considère que c'est parce que je n'en saisis pas encore l'opportunité mais qu'en trouvant<br /> ""comment faire avec" je découvrirai que mon allié avait simplement compris avant moi que "ce détour" était nécessaire. Une façon parfois de<br /> m'éviter le précipice.<br /> <br /> <br /> New âge ? Qu'importe, un âge est toujours new pour celui qui y arrive.<br /> <br /> <br /> Cordialement<br /> <br /> <br /> Françoise<br /> <br /> <br /> <br />
B
<br /> Françoise écrit : « le malade traité préfère savoir que le traitement qu'il suit est efficace plutôt que d'en connaitre l'inventeur. S'il peut savoir les deux, tant mieux. S'il doit choisir, il n'y<br /> a pas photo. Il préfère ignorer le nom de l'inventeur et avoir la certitude que le traitement qu'il suit est efficace. »<br /> Aucune personne n’a inventé un traitement : un traitement est l’aboutissement d’une suite de découvertes dont personne ne peut à lui-seul s’attribuer la paternité. Ma remarque concernant la<br /> perspective historique ne s’appliquait pas au patient mais venait en critique de l’attitude de Hamer et de Sabbah (qui, rappel) font croire qu’ils sont découvert quelque chose de réellement<br /> nouveau, alors que bien avant eux la médecine psychosomatique avait plus qu’ouvert le chemin !).<br /> <br /> <br /> Françoise écrit : « Si vous vous reportez au film identifié en référence dans l'article précédent, vous constaterez qu'il y est affiché des images du cerveau que HAMER avaient interprété en<br /> corrélation avec les organes malades. Vous pouvez les contester. Je ne suis pas spécialiste, je n'arbitrerai pas. »<br /> Plusieurs personne dont le Dr Thomas-Lamotte avec lequel j’ai personnellement correspondu, ont émis plus que des réserves concernant la manière dont Hamer interprète les scanners. Je ne peut le<br /> répéter mais pour qu’une corrélation cerveau-organes soit établie sans conteste il aurait fallu que Hamer ou d’autres fassent l’indispensable effort de s’appuyer sur une étude ne fût-ce que<br /> statistique. En dehors, de cela ce type de théorie aurait toujours un énorme défaut : celui de ne se baser sur aucune preuve établie.<br /> <br /> <br /> <br /> Françoise écrit : « Il existe, puisque j'en connais, des personnes totalement imperméables à la Spiritualité (c'est du moins ce qu'elles disent) et qui ne croient que ce qu'elles sont en mesure de<br /> vérifier par leurs propres sens (vision, ouïe, gout, ...). »<br /> Elles peuvent le dire effectivement et par conséquence vous les croyez. Cependant, il est inconcevable qu’une personne ne puisse pas avoir une dimension spirituelle<br /> <br /> Il est maintenant admis que tout être, quel qu'il soit et quelles que soient ses croyances, fût-il athée, agnostique etc. développe automatiquement et librement une forme de spiritualité. Celle-ci<br /> est en fait l'expression de sa propre conception de l'Univers et de la connexion qu'il établit avec lui, qu'il ne veuille on non et dans tous ses plans, tous les aspects et domaines de sa vie, de<br /> la Vie.<br /> <br /> Il suffit de penser simplement à ce que constitue pour chacun l'Univers ; imaginez, visualisez son infinité : vous n'arriverez pas à en avoir une totale représentation mentale et pour cause !<br /> Peut-on en fait se représenter vraiment l'infini ? Pour chacun d'entre nous, apparaît alors une grande inconnue, quelque chose qui dépasse son entendement, car personne n'est capable de capter etc.<br /> ce qu'est précisément le caractère infini, sans limites de l'Univers, ce qui a donc fait dire à ces signataires que " (...) les progrès de l’astrophysique suggèrent l’idée selon laquelle un dessein<br /> existant dans l’Univers n’est pas à exclure "<br /> <br /> Les signataires (tous scientifiques) de l'article paru dans Le Monde du 26 février 2006<br /> font référence à l’organisation par l’American Association for Advancement of Science (qui édite la revue "Science") d’une journée intitulée « Y a-t-il un dessein dans l’univers ? » (dans un<br /> colloque de 1999 sur les « questions cosmiques ») et constituée par un débat entre « astrophysiciens professionnels ».<br /> <br /> Selon eux, la découverte datant des années 1980 de l’existence d’un réglage précis de l’Univers pour que la vie puisse y apparaître est considérée par certains scientifiques comme pouvant<br /> conforter, mais sans la prouver, « l’hypothèse de l’existence d’un principe créateur ».<br /> <br /> (Extrait de ma page Web « Les aides de l’Univers » http://www.retrouversonnord.be/AidesExTheme.htm )<br /> <br /> <br />
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B
<br /> Françoise écrit : « Peu m'importe qui et quand ces prises de conscience ont été réalisées. L'essentiel est que l'on s'en serve à l'instant présent. Et qu'enfin soit reconnue la nature globale de la<br /> maladie. »<br /> Je ne suis pas d’accord : la perspective historique et importante ne fût-ce que pour « rendre à César ce qui est à César » ce que (rappel) ni Hamer ni Sabbah n’ont eu l’honnêteté intellectuelle de<br /> faire puisqu’ils n’ont fait strictement aucune référence à leurs prédécesseurs, sans lesquels ils n’auraient jamais pu élaborer leurs théories.<br /> <br /> Françoise écrit : « Ceci étant la connaissance des causes est une condition Nécessaire mais Insuffisante pour soigner les effets. Et sur ce point, chacun étant différent, aucune stratégie n'est<br /> strictement REPRODUCTIBLE. »<br /> Je ne peux que le rappeler : il appartient EXCLUSIVEMENT au patient de donner un sens à ses maux et à supposer qu’il le fasse SPONTANEMENT (sans directivité de la part de quiconque)<br /> <br /> Extrait du livre de Thierry Janssen, « La maladie a-t-elle un sens ? Enquête au-delà de croyances », pp. 218 et 254. :<br /> <br /> Le Dr Thierry Janssen observe à ce sujet une quête de sens à l’envers chez certains patients :<br /> […] au lieu d’écouter les messages de leurs corps, ils plaquaient des explications toutes faites sur leurs symptômes.<br /> Ils récitaient des théories apprises dans des livres ou répétaient des paroles entendues dans la bouche d’un "gourou" du symbolisme des maladies. Mais jamais ils n’avaient accès à leur propre<br /> vérité.<br /> Le Dr Thierry Janssen relate à cet égard la salutaire prise de conscience faite par un psychothérapeute formé à la GNM :<br /> Je réalise à quel point j’ai peur de ne pas pouvoir apporter de réponses aux personnes qui me consultent […].<br /> Je transmets la vision de la maladie qui m’a été enseignée. Mais qui suis-je pour "savoir" à la place de l’autre quel est le sens de sa souffrance ? Qui suis-je pour décider ce que "veut dire" la<br /> maladie de l’autre ? Je me rends compte que je parle sans arrêt lors de mes consultations. J’ai horreur du vide. Je ne laisse pas de temps ni d’espace à mes patients. Je leur impose une croyance<br /> qui me rassure. »<br /> <br /> Françoise écrit : « PS: Si ce n'est une méconnaissance de ma part, de tous les référends que vous avez cités, seul le Dr HAMER était un radiologue capable d'interpréter les images des radios et des<br /> scanners »<br /> C’est faux : plusieurs autres personnes se sont lancées dans l’interprétation des scanners mais le plus important est de se rendre compte qu’aucun n’a fait une étude ne fût-ce qu’empirique pour<br /> démontrer une liaison cerveau-organe au travers de ce que les scanners pouvaient indiquer. En conséquence, ce type de lecture des scanners reste au niveau de la pure théorie et ici encore par<br /> défaut (déplorable) de la part de ceux qui la pratiquent de fournir les éléments pour précisément permettre (le cas échéant) d’asseoir leurs observations. Plus qu’étonnant quand on lit leurs<br /> affirmations (non prouvées) à cet égard. Imaginez donc ceci : vous prétendez trouver une nouvelle méthode d’analyse (cervicale) permettant de faire avancer la compréhension des maladies et vous en<br /> rester au stade de la théorie (sans faire le moindre effet d’une quelconque analyse ne fût-ce que statistique pour appuyer vos dires !).<br /> Si ces théories étaient si porteuses de sens, pour quelles raisons donc leur promoteurs se sont-ils privés de développer le sujet en suivant ce que l’observation ne fût-ce qu’empirique aurait<br /> permis de consolider et ainsi de permettre un large développement en faisant évoluer la science médicale d’une manière profitable ? C’est un manque flagrant de cohérence.<br /> <br /> <br /> Françoise écrit : « Si votre plus grand reproche est son mépris de la psychothérapie classique sous prétexte, que, dans son cas personnel, elle ne lui a rien apporté, (extrapolation intempestive)<br /> il est probable que sa formation en théologie (encore une caractéristique qui lui était propre) en soit la cause. »<br /> Vous déformez la réalité : lisez bien ce que Hamer en dit dans ses écrits et notamment sur son site (j’ai toute la collection de ses livres) et vous devrez vous ranger au constat fait notamment par<br /> l’AFIS (citée) : dénis du psychologique et du psychosomatique (comme démontré).<br /> En plus vous mettez en contrebalance la « théologie » qui n’est pas une science ni une quelconque approche empirique : la théologie ne se base que sur des DOGMES et donc ce que vous dites conforte<br /> donc le fait que Hamer est avant tout dogmatique dans son discours.<br /> <br /> Françoise écrit : « Les personnes très impliquées par la spiritualité sont nettement plus orientées vers le futur que vers le passé. Je le sais, j'en suis. »<br /> Ce que vous dites est presque gouroutique : comme si quelqu’un « très impliqué par la spiritualité » avait une quelconque longueur d’avance par rapport à la compréhension du futur, se détournant<br /> (dogmatiquement) en plus du passé (qui a pourtant déterminé ce futur !) ; comme si cette position d’implication jugée plus forte dans la spiritualité était à l’évidence une avancée incontestable<br /> vers quoi que ce soit. Votre discours est proche de ce que l’Eglise au moyen-âge, détentrice alors (par la domination sur la société) de ce qu’était et n’était pas la Science, imposait sans partage<br /> ni remise en question.<br /> <br /> La spiritualité est et doit rester affaire PERSONNELLE confinée dans la sphère strictement privée (on a vu au travers par exemple les guerres de religion, et encore actuellement, à quelles<br /> atrocités et à quelle déshumanisation ont conduit le brandissement de l’étendard de Dieu ou autre Allah. La revendication spirituelle ne peut faire montre de quelque vérité autre que dogmatique,<br /> basée donc sur une croyance qui est par nature contestable, en aucun cas ce type de « vérité » n’est opposable à quoi que ce soit ni à qui que ce soit. Le « futur » est un concept qui n’est pas<br /> fixe et qui n’est commun à personne : toute vérité est relative par rapport à celui qui la vit. Je m’étonne que vous puissiez donc mettre en contrepoids<br /> <br /> <br /> Françoise écrit : « Le futur est la route, le présent est le pare-brise et le passé est le rétroviseur […]. »<br /> Voilà une métaphore qui ne prouve rien mais qui a des relents, selon moi, sinon newagistes du moins d’une pensée magique fort à la mode !<br /> <br /> <br /> Françoise écrit : « Je pense que pour les personnes totalement imperméables à la spiritualité cette image ne suggère rien. Mes lecteurs concernés peuvent l'oublier. »<br /> Voilà encore une opinion toute personnelle mais qui n’apporte rien au débat : une argumentation ne peut pas se baser sur des opinions personnelles non étayées.<br /> de plus qui êtes vous pour vous permettre de juger, de soupçonner que certains puissent être « totalement imperméables à la spiritualité » ?! Quels sont donc vos critères objectifs qui vous<br /> permettent pareil constat ? Je crains qu’à continuer dans cette voie, on ne dérive alors complètement dans la pensée magique voir typiquement newagiste et son cortège de dérives en tous genres…<br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br />  Baudouin écrit "la perspective historique et importante ne fût-ce que pour « rendre à César ce qui est à César »" . Tout à fait d'accord sur un plan<br /> administratif, artistique et juridique. Si on se place sur le plan des soins, le malade traité préfère savoir que le traitement qu'il suit est efficace plutôt que d'en connaitre l'inventeur. S'il<br /> peut savoir les deux, tant mieux. S'il doit choisir, il n'y a pas photo. Il préfère ignorer le nom de l'inventeur et avoir la certitude que le traitement qu'il suit est efficace.<br /> <br /> <br /> Baudouin écrit : "plusieurs autres personnes se sont lancées dans l’interprétation des scanners mais le plus important est de se rendre compte qu’aucun n’a fait<br /> une étude ne fût-ce qu’empirique pour démontrer une liaison cerveau-organe au travers de ce que les scanners pouvaient indiquer".  Si vous vous reportez au film identifié en référence<br /> dans l'article précédent, vous constaterez qu'il y est affiché des images du cerveau que HAMER avaient interprété en corrélation avec les organes malades. Vous pouvez les contester. Je ne suis<br /> pas spécialiste, je n'arbitrerai pas.<br /> <br /> <br /> Baudouin écrit :"de plus qui êtes vous pour vous permettre de juger, de soupçonner que certains puissent être « totalement imperméables à la spiritualité »<br /> " Je suis quelqu'un qui conçoit et qui accepte que chacun a la possibilité et le droit de penser ce qu'il veut car la Liberté de penser, contrairement à la liberté d'action, me parait un<br /> droit Universel et Incontournable. Il existe, puisque j'en connais, des personnes totalement imperméables à la Spiritualité (c'est du moins ce qu'elles disent) et qui ne croient que ce<br /> qu'elles sont en mesure de vérifier par leurs propres sens (vision, ouïe, gout, ...). Si l'image que j'ai évoquée ne leur suggère rien il ne sert à rien qu'elles la retiennent. Elles peuvent<br /> l'oublier. Si cette image leur suggère quelque chose (j'ai écrit "je pense" pas "je sais"), qu'elles gardent ou refusent ce quelque chose. L'interprétation de la chose écrite<br /> appartient à son lecteur.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
B
<br /> Françoise écrit : « ce n'étaient pas que les causes des pathologies que voulait mettre en évidence Hamer mais des stratégies de soins associées. »<br /> Si vous parlez de la thèse, vous vous trompez. D’autre part, je ne vois aucune preuve ni source qui accrédite ce que vous prétendez.<br /> <br /> Françoise écrit : « Par définition, les découvertes scientifiques sont toujours soumises à l'analyse de pairs qui doivent se hisser au niveau des connaissances nouvelles présentées. »<br /> Hamer n’a fait aucune découverte scientifique ; pour atteindre ce statut, ses théories (qui ne restent que des théories vu l’absence TOTALE de preuves et pas seulement scientifiques) auraient dû<br /> être validées par le protocole scientifique ; comme démontré, cela n’était pas possible puisqu’il présentait des études de cas (maladies°.<br /> <br /> Françoise écrit : « La physique quantique était nettement plus bouleversante pour les physiciens et mathématiciens traditionnels que le phénomène "stress" facteur des maladies. »<br /> Je ne comprends pas la pertinence de votre remarque et même je le conteste : sur quoi vous basez-vous pour affirmer (sans prouver) cela ? Au contraire, le « stress oxydatif » ou « oxydant » est une<br /> découverte toute récente et est à la base de toutes les maladies. La science médicale conseille d’ailleurs de veiller à prendre des antioxydants et de s’alimenter en veillant à l’équilibre<br /> acido-basique.<br /> <br /> Vous faites référence à la Physique Quantique : bien d’autres auteurs s’appuyant notamment sur les découvertes de la Physique Quantique ont démontré les liens incontestables entre le psychisme et<br /> le corps et donc dans la genèse des maladies.<br /> Je suis un fervent défenseur de la Physique Quantique mais il faut reconnaître qu’il y a trop de domaines de santé qui se qualifient abusivement de « quantique »…<br /> <br /> Françoise écrit : « Votre argumentation est, en soi, la meilleure défense des découvertes du Dr HAMER »<br /> Je vous laisse la responsabilité de vos propos mais je suis très étonné d’une telle interprétation (erronée) et qui me fait m’interroger sur le fait de savoir si vous avez bien lu ce que j’en<br /> disais…<br /> <br /> Françoise écrit : « Il serait temps aujourd'hui de faire la synthèse des avancées en tout domaine pour le bien des individus. »<br /> En ce qui concerne Hamer, je ne peux que le répéter : il ne s’est pas comporté en scientifique honnête (sur le plan intellectuel) ne fût-ce que pare ce qu’il a plongé dans un déni endémique du<br /> psychologique et du psychosomatique, ignorant superbement les découvertes précédentes en ces domaines, en faisant (fallacieusement) croire qu’il avait inventé quelque chose de nouveau !<br /> <br /> Rappel, la médecine psychosomatique est une branche reconnue de la science médicale et au fil des ans fait état d’un nombre croissant de maladies dont l’origine est psychique :<br /> <br /> "La théorie psychosomatique, en France, a été élaborée en 1958 par un groupe de psychanalystes psychosomaticiens appartenant à la Société Psychanalytique de Paris, rassemblés sous le nom de l’Ecole<br /> de Paris […]. L’originalité de ces travaux repose sur une découverte fondamentale : le processus de somatisation apparaît lorsque le sujet n’est pas capable de traiter mentalement les<br /> contradictions qui pèsent sur lui.".<br /> Yves RANTY (1994), « Les Somatisations », p48. L’Harmattan, Paris.<br /> <br /> "Des études cliniques, effectuées sur des malades dont on a pu établir tous les antécédents biographiques, ont montré l’existence d’un rapport chronologique entre l’évolution de leur maladie et les<br /> événements retentissant sur leur vie affective. La situation qui précipite le sujet dans la maladie revêt pour ce malade une signification affective particulière, parce qu’elle est liée à son passé<br /> ou à une problématique conflictuelle non résolue. C’est en raison de ces liens qu’elle a pour lui un effet de stress. "<br /> (A. BECACHE– « Psychologie Pathologique », p. 219 – Abrégés Masson).<br /> <br /> " C'est la médecine tout entière qui doit s'ouvrir à la psychologie et devenir psychosomatique. Ou pour mieux dire, avec WEISS et ENGLISH [°] : « Toute maladie relève à la fois de l'esprit et du<br /> corps et toute thérapeutique est, de ce fait, de la médecine psychosomatique. Lorsqu'on en sera dûment persuadé, le terme psychosomatique pourra disparaître, les données qu'il traduit étant<br /> désormais impliquées dans le terme médecine ». Mais pour cela il faut que tous les médecins et psychiatres soient authentiquement formés à la psychologie et aient renoncé au préjugé organiciste."<br /> (Marc-Alain Descamps (1992). « Corps et psyché », p16).<br /> ° « Médecine Psychosomatique. L'Application de La Psychopathologie aux Problèmes Cliniques de Médecine Générale »’ qui est un ouvrage de référence.<br /> <br /> Après avoir examiné plus de 20.000 patients au cours de sa carrière, le Dr Thomas-Lamotte, neurologue français, a développé une approche différente du symptôme de ses patients : pour lui, la<br /> plupart des maladies que nous développons ont pour origine une émotion inavouée et le simple fait de comprendre ce mécanisme nous permettrait déjà de les éviter. L’expression populaire « s’en<br /> rendre malade » trouve dans ce livre sa plus belle illustration avec les clés pour décoder nos déceptions et comment les empêcher d’agir sur notre corps. (Sa riche expérience agrémentée de faits<br /> précis est relatée dans son livre "Et si la maladie n'était pas un hasard").<br /> <br /> Le Dr Hamer comme le Dr Sabbah (son ‘suiveur’ avec sa « Biologie Totale ») élaborent des théories intéressantes mais qui ne font que rejoindre tout ce que la science a pu pertinemment dire à propos<br /> de la médecine psychosomatique, mais le gros problème avec Hamer et Sabbah, c'est qu'ils se sont abstenus de fournir les bases objectives qui les y ont amenés à élaborer leurs théories et aussi de<br /> faire référence à leurs prédécesseurs (ce qui est sur le plan intellectuel inadmissible : on ne construit rien sur du neuf).<br /> <br /> Lorsque le Dr Hamer présente comme sur son site (www.medecinenouvelle.com ) des "vérifications scientifiques" de ses théories, il n'en donne qu'une forme trop restreinte (absence notamment des<br /> protocoles scientifiques) et on est alors obligé de le croire sur parole. Leurs errances (aussi bien dans la présentation que dans la diffusion de leurs théories) ont conduit finalement à desservir<br /> la médecine psychosomatique, vu n’anathème jeté et fortement nourri par les serviles médias asservis à la pensée unique dominante.<br /> <br /> Voici des longs dossiers que j'ai réalisés :<br /> <br /> - sur le Dr Hamer :<br /> http://www.retrouversonnord.be/hamer.htm<br /> <br /> - sur son émule, le Dr Sabbah (Biologie-Totale) :<br /> http://www.retrouversonnord.be/BTouimais.htm<br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> En réponse je vous cite : "Le Dr Hamer comme le Dr Sabbah (son ‘suiveur’ avec sa « Biologie Totale ») élaborent des théories intéressantes mais qui ne<br /> font que rejoindre tout ce que la science a pu pertinemment dire à propos de la médecine psychosomatique".<br /> <br /> <br /> "Des études cliniques, effectuées sur des malades dont on a pu établir tous les antécédents biographiques, ont montré l’existence d’un rapport chronologique<br /> entre l’évolution de leur maladie et les événements retentissant sur leur vie affective."<br /> <br /> <br /> "La situation qui précipite le sujet dans la maladie revêt pour ce malade une signification affective particulière, parce qu’elle est liée à son passé ou à une<br /> problématique conflictuelle non résolue. C’est en raison de ces liens qu’elle a pour lui un effet de stress. "<br /> <br /> <br /> " le « stress oxydatif » ou « oxydant » est une découverte toute récente et est à la base de toutes les maladies."<br /> <br /> <br /> "bien d’autres auteurs s’appuyant notamment sur les découvertes de la Physique Quantique ont démontré les liens incontestables entre le psychisme et le corps et<br /> donc dans la genèse des maladies".<br /> Ou pour mieux dire, avec WEISS et ENGLISH [°] : « Toute maladie relève à la fois de l'esprit et du corps et toute thérapeutique est, de ce fait, de la médecine<br /> psychosomatique."<br /> <br /> <br /> Sur tous ces points je partage votre point de vue et donc celui des auteurs que vous identifiez.<br /> <br /> <br /> Peu m'importe qui et quand ces prises de conscience ont été réalisées. L'essentiel est que l'on s'en serve à<br /> l'instant présent. Et qu'enfin soit reconnue la nature globale de la maladie.<br /> <br /> <br /> Ceci étant la connaissance des causes est une condition Nécessaire mais Insuffisante pour soigner les effets. Et sur ce point,<br /> chacun étant différent, aucune stratégie n'est strictement REPRODUCTIBLE.<br /> <br /> <br /> PS: Si ce n'est une méconnaissance de ma part, de tous les référends que vous avez cités, seul le Dr<br /> HAMER était un radiologue capable d'interpréter les images des radios et des scanners.  Peut-être était -il aussi le seul oncologue et chirurgien (vu sa<br /> découverte du bistouri électrique ou équivalent) . Enfin, j'ignore si les autres avaient aussi connu la maladie par expérience personnelle en plus que par examen des<br /> autres.<br /> <br /> <br /> Si votre plus grand reproche est son mépris de la psychothérapie classique sous prétexte, que, dans son cas personnel, elle ne lui a rien apporté, (extrapolation<br /> intempestive) il est probable que sa formation en théologie (encore une caractéristique qui lui était propre) en soit la cause. Les personnes très impliquées par la spiritualité sont<br /> nettement plus orientées vers le futur que vers le passé. Je le sais, j'en suis.<br /> <br /> <br /> Le futur est la route, le présent est le pare-brise et le passé est le rétroviseur. <br /> <br /> <br /> Je ne trouve pas judicieux de conduire les yeux fixés sur le rétro et en essayant de deviner la route qui se présente en fonction de celle déjà parcourue. Je<br /> préfère commencer par nettoyer le pare-brise et conduire en regardant devant. Le rétro me sert aussi, sur le chemin de ma vie,  ponctuellement.<br /> <br /> <br /> Je pense que pour les personnes totalement imperméables à la spiritualité cette image ne suggère rien. Mes lecteurs concernés peuvent l'oublier.<br /> <br /> <br />  Cordialement<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />