Maladie = Activation d'un Programme de Survie à Court Terme ?

Publié le par choisirlaconfiance.over-blog.com

Si la réponse est affirmative cela expliquerait que :

- Nos parents en nous donnant corps (ordinateur personnel) nous donnent aussi les programmes (génétiques) que nous activerons en fonction de nos besoins fondamentaux d'épanouissement personnel et, à la limite, de survie (CT).

En fait, en fonction de nos observations relatives aux interventions de nos co-pilotes Cerveau droit/ Cerveau gauche, nous remarquons que celui qui réagit dans l'urgence (Cerveau droit) assure la Survie immédiate.

Si le seul moyen de nous éviter le précipice, c'est l'arbre, nous nous arrêterons - plus ou moins violemment, suivant notre accélération non maitrisée du moment, contre l'arbre.

Ensuite, le Co-pilote, cerveau gauche, une fois les effets du choc passés, devra réparer.

Mais il est possible de réparer.  Pour ressusciter, c'est moins évident.

Seulement, comment réparer ?

Evidemment, il faut la participation d'un mécanicien et d'un carrossier (médecins) mais il est nécessaire aussi de chercher les causes de cette erreur de conduite afin de ne pas la reproduire... Il n'y aura pas toujours un arbre, ou un mur,  à proximité, à remercier.

L'erreur peut d'ailleurs consister simplement à croire pouvoir conduire un véhicule comme un autre (celui d'hier ou celui des parents ou celui d'un autre tiers) alors que les deux sont différents !!!

(Là je parle d'expérience. Les vitesses ne sont pas forcément à la même place et autres fantaisies...)

 

Mais trouver l'erreur suppose un préalable : La chercher. 

Et la chercher suppose un préalable : Présumer qu'elle existe.

De toutes façons, retenir ce préalable ne peut être qu'un pari gagnant ou nul.

Le seul genre de pari auquel je participe, volontiers.

 

Voici un des chemins qui mène au refuge-cachette de cette erreur :

   Qu'est-ce que la situation de malade m'a permis d'obtenir  ?

   Quelques pistes : Repos, vacances, Perception de l'affection ou de l'attention de tiers dont je voulais m'assurer, Eloignement d'autres (quelle que soit l'affection qu'ils m'inspirent) et des obligations qui accompagnaient leur compagnie ou leur présence....Vengeance... J'en passe tout plein.

   Dresser une liste... Car un avantage n'est pas exclusif d'un autre.

   Laisser vagabonder votre cerveau droit qui ne s'embarrasse pas des contraintes de quelque ordre que ce soit (morales, physiques, matérielles)

   Inutile de lister les inconvénients. Ils existent comme le côté face est forcément le corrolaire du côté pile. 

   Une fois la liste élaborée... même incomplète, intervention du cerveau gauche  (l'analyste) pour évoquer, pour chaque élément, comment on pourrait obtenir le même résultat, ou l'équivalent, en se portant bien, comme si tous les moyens étaient à notre portée(afin de neutraliser provisoirement ses fonctions de "censeur" qui limitent ses capacités créatives)

  Evidemment cela demande de libérer nos facultés d'imagination, de créativité, et de choisir la confiance en soi, en les autres, et l'humilité de nature collective (nul n'est globalement meilleur que moi et réciproquement).

 

   Ensuite, Il ne reste plus qu'à  organiser une concertation de nos deux hémisphères cérébraux afin que les deux s'accordent simultanément sur ce qui est le meilleur pour nous aussi bien pour la case départ (CT qui comprend les interventions médicales) que pour le choix de la trajectoire (MT et LT).

  Et à aborder le chemin menant à l'étape guérison en suivant l'étoile qui nous guide et que l'on appelle "Projets"

 

  Ce n'est pas plus compliqué que cela ... A dire... et A écrire.

  Ce qui en constitue l'opération "démarrage."

  (Il est nettement plus efficace, et moins fatiguant, de faire avancer un véhicule en tournant la clef dans le contacteur qu'en essayant de le pousser - surtout sans avoir enlevé le frein -)

  Objection ?

  Tu me réponds que certaines affections ne peuvent être interrompues que par des périodes "rémissions".

  Si tu veux appeler ainsi ces périodes "out of souffrance", pourquoi pas.

  Mais dans ce cas, à part les éternels restés de ce côté de la Vie (à ma connaissance, personne), nous sommes tous des rémissionistes.

    Sur ces mots ayant eu l'intention d'exprimer comment sortir des maux 

    Je vous souhaite une agréable journée

    Amicalement

    Françoise

    http://authenticienne.over-blog.com/

    http://lesamisdespoetes.over-blog.com/

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